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L'art et la manière de la chose !!!

19 mai 2006

Vécue de Xavmart

voici un petit texte. il s'agit d'une histoire vécue bien sur.
xavier

La nuit tombait, je suivais la voiture. Elle a pris un chemin compliqué dans un endroit que je ne connaissais pas et s'est arrêté dans une sorte de cul-de-sac. Une route conduisant à une barrière de service d'autoroute. Je me suis garé derrière lui. Nous sommes descendu de voiture et avons fait les quelques pas qui nous séparaient. C'est toujours un moment crucial, celui du premier contact. De la première caresse. Je vais toucher cet homme que je ne connaissais pas il y à une minute, juste entrevu dans la pénombre. Je sens mon sexe se raidir. Je l'observe. Il porte une chemisette sur un bermuda. Je suis contre lui. J'avance une main. Je saisis à travers le tissu son sexe. Lui ne bouge pas il attend. Je tire le bermuda vers le bas. Dessous il porte un string en lycra que je baisse sans attendre, dévoilant une verge encore molle mais prometteuse. Un instant je l'abandonne pour retirer pantalon et slip. Je libère ma bite qui se dresse prête à l'action. Nos ventres se touchent. Je sens sa verge qui se tend contre mon pubis. Je la touche. Mais main saisie un manche épais et raide. Je me recule pour voir. Je ne suis pas déçu. À la lueur du clair de lune je regarde le braquemart. Il émerge d'une abondante touffe de poils roux. Il est particulièrement gros, bien qu'un peu court et fortement courbée vers le haut. Je ne peux m'empêcher de la décalotter et de le prendre en bouche. Je l'aspire, mais il se dérobe. "Pas trop vite tu va me faire jouir". À son tour, il me caresse. Ses mains courent sur mes fesses, passent entre mes cuisses, touchent mes couilles les empaumes. Sa bouche engloutie ma bite. Nous sommes au comble de l'excitation. Nous nous asseyons dans l'herbe face à face, nos jambes mêlées. Nos ventres sont à quelques centimètres l'un de l'autre. Nous nous prenons réciproquement nos verges en main et démarrons de lents mouvements de va et vient; Pour la première fois je remarque les phares des autos qui balaient le ciel au-dessus de nos têtes. Je suis le premier à jouir. Je jouis à longs jets puissants, éjaculant sur le pubis de mon camarade. Soulagé, j'accélère le mouvement de ma main. La bite palpite dans ma paume. C'est l'explosion. Il expulse sa semence sur moi.

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17 mai 2006

Avant première...!

N'ayant pas encore eu le temps de rédiger une de mes histoires vécues complétement, je vous offre ce récit d'un pote qui me l'avait filé il y a lontemps et qui mérite le coup...de bite !

1. Un départ compromis

Vendredi après-midi, les jeunes recrues sont en train de boucler leurs sacs pour un départ en permission bien mérité. En ces jours d'été le soleil tape fort et il fait chaud dans les bâtiments. Comme tous les trains ne partent pas à la même heure, Adrien et Benoît ont décidé de profiter d'une demi-heure de temps libre pour prendre une dernière douche avant leur départ. Il y a cinq douches dans la salle, elles sont séparées par des panneaux, mais n'ont pas de portes ce qui est généralement le cas à l'armée. L'eau fraîche ruisselle sur leur peau et leur fait le plus grand bien. C'est à regret qu'ils doivent en sortir s'ils ne veulent pas se mettre en retard. Ils traversent nus la pièce pour se rendre sur le banc d'en face où ils ont laissé leurs affaires.

Alors qu'ils sont en train de s'essuyer, une femme habillée en civil entre dans la pièce et commence à se déshabiller près d'eux. Grande et portant ses cheveux blonds foncés noués derrière la tête, elle est indifférente aux regards d'Adrien et Benoît. Elle se retrouve rapidement en sous-vêtements et c'est l'occasion pour les garçons de découvrir son corps. Elle est plutôt sportive et assez musclée, sa poitrine en a pâti car elle est demeurée plutôt petite. En guise de soutien-gorge, elle porte une brassière de sport en coton blanc. Lorsqu'elle la retire les deux garçons peuvent constater la fermeté de sa poitrine, ce qui n'est pas difficile étant donné sa petitesse. Une fois qu'elle a retiré son string, assorti à la brassière, ils peuvent également remarquer qu'elle a le pubis intégralement épilé. L'effet en est renforcé grâce à ses muscles abdominaux qui, en lui donnant un ventre bien plat, favorisent la vue de son sexe lisse dont on peut deviner sans difficulté le haut de la fente. Elle va alors dans l'une des cabines de douches. Adrien et Benoît n'ont toujours pas bougé, restant scotchés par cette excitante apparition. C'est la première fois qu'ils voient une femme dans ces douches. Généralement, elles en ont qui leur sont spécialement réservées, mais après tout, rien ne les empêche d'aller dans d'autres douches si elles le souhaitent. Ayant fini de s'essuyer, ils reposent leurs serviettes sur le banc mais ne pensent pas à se rhabiller, tellement ils sont captivés par le spectacle qui leur est offert, regardant cette femme nue sous la douche, la bouche entrouverte.

Discrets comme ils sont, elle s'en rend évidemment compte. Sortant de la douche, nue et ruisselante d'eau, elle s'avance vers eux, menaçante.

- Qu'est-ce qui ne va pas?

C'est Adrien qui lui répond. Toujours assis sur le banc, le sexe coincé entre les cuisses, probablement pour cacher un début d'érection, son copain n'étant pas mieux.

- Rien, madame.

- Garde à vous! Moi, c'est sergent! Vous étiez entrain de me mater? Hein? Vous me ferez 48 heures de retenue pour ça.

- Mais enfin…

- Tout de suite!

- Bien madame.

- QUOI?

- Euh… A vos ordres sergent !

- Bon. Placez-vous au garde à vous devant la douche, que je puisse vous surveiller.

- Bien… Sergent.

Les deux garçons se lèvent et prennent leurs vêtements pour se rhabiller auparavant. Elle les rappelle à l'ordre.

- Non, restez comme vous êtes.

Adrien et Benoît se mettent donc au garde à vous, nus, devant la couche où elle se lave. Leurs sexes sont déjà à moitié gonflés, témoins d'un début d'érection du à l'excitation de la situation. Elle prend tout son temps et se caresse plus qu'elle ne se lave, offrant son corps musclé aux regards avides des deux garçons. Soudain, elle les interpelle sèchement.

- Dites donc, mais vous n'êtes pas au garde à vous!

- Mais si, sergent.

- Je veux vous voir complètement au garde à vous.

Et tout en disant cela, elle relève son avant-bras droit à la façon d'une érection pour leur faire clairement comprendre ce qu'elle attend d'eux.

- Je ne vous fais pas d'effet? Allez!

Adrien et Benoît se mettent alors à se masturber, tandis qu'elle fait de même tout en les regardant faire. Leurs sexes deviennent rapidement raides et ils redoublent d'ardeur pour s'astiquer la bite. Ils en arrivent rapidement à l'éjaculation, chacun laissant s'échapper un jet de sperme qui s'écoule au sol en direction de la douche. Le sergent jouit quelques instants après et quitte alors la douche.

- Bon. Lavez-vous bien et nettoyez le sol.

- Oui. Sergent.

- Et tenez-vous prêts matin à 10 heures précises.

- Oui. Sergent.

Elle se rhabille rapidement, laissant sur place les deux garçons qui ont encore bien du mal à réaliser ce qui vient de leur arriver.

Benoît se rassied sur le banc, essoufflé.

- Pff. Elle m'a épuisé, la salope.

- Moi aussi.

Benoît ne peut s'empêcher de mater la bite encore bien gonflée de son copain qui est resté debout face à lui. Adrien s'en rend compte et ça l'inquiète.

- Qu'est-ce que tu as?

- Rien.

- Mais si. Tu regardes ma bite fixement.

- Ça doit être la fatigue. Je n'ai pas la force de regarder ailleurs. En tout cas, tu as une belle bite.

- Pourquoi tu dis ça?

- C'est la première fois que je te vois en érection. Je t'avais déjà vu à poil, mais ce n'est pas pareil.

- C'est pareil pour toi.

- Quoi donc?

- Ta bite n'est pas mal non plus.

- Merci.

- Bon. Je vais aller chercher une serpillière pour nettoyer ça.

En disant cela, Adrien montre à son ami les traces de sperme répandues sur le sol.

- Je ne vois pas comment t'aider.

- Non. Laisse tomber. Je vais me débrouiller.

Pendant qu'il parlait, Adrien s'est rhabillé alors que Benoît est resté assis, grisé par ce qui vient de se passer. Toujours dans ses pensées, Benoît se met à se caresser machinalement le sexe. La porte de la douche s'ouvre brusquement, c'est Adrien qui revient avec une serpillière et un balai et cela fait sursauter Benoît.

- Tu m'as fait peur, dis donc.

Adrien regarde son ami et remarque son sexe qui est à nouveau en érection.

- Evidemment, si tu t'étais habillé plutôt que de te branler encore, tu n'aurais pas peur d'être surpris.

- Exact. Donc, je me rhabille.

Et joignant le geste à la parole. Benoît se lève et enfile ses vêtements tandis qu'Adrien est en train de nettoyer le sol.

- Quand je sais ce qu'il y a dans la serpillière, je n'ai pas envie de la rincer.

- Laisse tomber. Je vais le faire. Il suffit de la mettre dans un seau d'eau avec de l'eau de javel.

- Ok.

Benoît se penche pour ramasser la serpillière et il quitte la douche en même temps que son ami qui porte le balai.

La fin d'après-midi s'est écoulée. Ils sont dorénavant les deux derniers appelés présents dans le bâtiment, tous les autres sont partis en permission, tout est progressivement devenu calme. De retour du repas du soir, Adrien et Benoît sont remontés dans leur chambre pour bouquiner un peu. Mais l'envie de lire n'est pas là. La seule chose qui les préoccupe, c'est ce qui s'est passé tout à l'heure et ce qui va se passer demain. C'est Adrien qui engage la conversation sur ce sujet.

- Dis-donc, qu'est-ce que tu crois qu'elle va nous faire?

- Je ne sais pas.

- Elle a l'air un peu spéciale.

- Plutôt portée sur le sexe, quoi.

- Oui. Je ne sais pas si c'est ce qu'on appelle une nympho.

- Ça ne doit pas être bien loin de ça.

- Elle profite de son grade.

- C'est sûr. Elle en abuse.

- Je me demande si on est les premiers à qui ça arrive.

- Je ne pense pas. D'ailleurs, franchement, je trouve le motif de la retenue un peu limite.

- Ben oui. C'est sûr qu'on l'a matée. Mais elle l'a bien cherché.

- Oui. C'est quand même une salope avant tout.

Suite à cette dernière phase. Benoît reste quelques instants pensif, puis il reprend.

- En tout cas, je pense que l'on peut s'attendre encore à quelques fantaisies.

- Au niveau sexuel, tu veux dire?

- Oui. Si elle continue sur sa lancée. Tout peut arriver.

- Du moment que ce n'est pas trop hard.

- Je n'ai pas envie de sévices sexuels, mais je dois avouer que je me laisserais bien violer par elle.

- Si tu laisses faire, ce n'est pas plus du viol.

- Alors je ferai semblant de résister.

Cette conversation commence à intéresser Adrien qui a justement quelques soucis sentimentaux.

- Et toi, ça ne te gêne pas d'avoir des rapports comme ça?

- Comment ça, comme ça?

- Je veux dire sans lendemain. Sans suivi.

- J'ai l'habitude. Ça m'arrive assez souvent. Je n'arrive pas à garder une copine, alors j'en profite pour prendre du bon temps en accumulant les expériences. Et toi?

Adrien baisse la tête.

- C'est plutôt l'inverse. J'avais une copine depuis quelques années. On se connaissait depuis le collège. On avait même commencé à vivre ensemble, mais elle m'a quitté juste au moment où je suis parti sous les drapeaux.

- Ça, c'est dégueulasse.

- Donc en fait. J'ai eu bien moins d'expériences que toi, vu que c'était ma première copine.

- Mais en quantité, tu as certainement eu bien plus de rapports sexuels que moi.

- C'est possible. En vivant deux ans ensemble.

- En effet. Tu me bats, là.

- N'empêche que je suis seul maintenant. Et ça me fait chier.

- Tu en trouveras une autre. En attendant, fais toi plaisir.

- Comme ce week-end, par exemple?

- C'est ça, oui. Lâche-toi. Toutes les expériences sont bonnes à prendre.

- Tu as raison. Ça me fera du bien.

Revigoré, Adrien se replonge dans son livre, sa bonne humeur a repris le dessus. Cela rassure Benoît qui commençait à regretter d'avoir orienté la conversation sur un tel sujet.

2. Les bonnes vielles traditions

Il n'est que huit heures du matin, lorsque le sergent, cette fois-ci en uniforme, fait irruption dans la chambrée où dorment Adrien et Benoît. Ils y sont seuls, puisque tous leurs camarades sont partis en perm. Ils sommeillent encore et le réveil va être brutal car elle se met à crier.

- Debout là dedans!

Les deux garçons ont bien du mal à émerger. Benoît est le premier à ouvrir un œil.

- Déjà sergent ? Vous nous aviez pourtant dit 10 heures?

- J'ai changé d'avis. Maintenant c'est 8 heures. Allez! J'ai dit debout!

Adrien et Benoît se lèvent difficilement, encore endormis. Une fois sortis du lit, ils se mettent au garde-à-vous à côté, juste vêtus d'un t-shirt et caleçon.

- Déshabillez-vous.

Ne cherchant plus à comprendre, les deux garçons se déshabillent et se remettent au garde-à-vous, attendant l'ordre suivant. Celui-ci ne se fait guère attendre.

- Nous allons à l'infirmerie.

- On y va comme ça?

- On ne vous verra pas, il n'y a personne ici le samedi.

Juste vêtus de leurs chaussons, ils traversent donc le bâtiment en direction de l'infirmerie, suivis de près par le sergent. Une fois arrivés devant la porte de l'infirmerie, ils s'arrêtent, ne savant trop quoi faire.

- Allez, entrez. Ne restez pas plantés devant à attendre.

Une fois à l'intérieur, les deux garçons constatent que l'infirmière de garde est présente. Petite et brune, elle est bien en chair, tout le contraire du sergent. Elle quitte son bureau pour venir observer les deux garçons. Elle est vêtue d'une blouse blanche et ses jambes nues semblent indiquer qu'elle est en jupe. Se saluant mutuellement, c'est le sergent qui entame la conversation.

- Voilà les deux cas dont je t'ai parlé.

- Ils ont l'air bien.

- Tout à fait. Tu as ce qu'il faut ?

- Oui.

- Alors, messieurs, vous savez qu'il faut respecter les traditions militaires. Je me demandais ce que vous pourriez faire ce week-end. Nous pourrions commencer par une bite au cirage, n'est-ce pas ?

Adrien et Benoît sont surpris mais n'osent rien dire.

- Avant toute chose, je ne sais toujours pas qui est Adrien et qui est Benoît.

- C'est moi, Adrien.

- Et moi, je suis Benoît.

- Bien. Pour ma part, je m'appelle Sophie, mais vous continuerez à m'appeler sergent. Quand à mon amie l'infirmière, elle s'appelle Catherine.

Celle-ci ajoutant sans plus attendre.

- Comme vous m'avez l'air bien sympathiques, vous pouvez m'appeler par mon prénom.

Sophie reprend tandis que Catherine sort de sa poche une boîte de cirage et un chiffon à lustrer.

- A toi l'honneur Adrien. Allonge-toi sur la table.

Sophie regarde Catherine.

- C'est du cirage noir?

- Oui.

- Je ne veux pas me salir les mains.

- Moi non plus.

Finalement, elle se tourne vers Benoît.

- Alors c'est toi qui vas cirer la bite à ton copain.

- Ah non !

- Pas de discussion, où je vous colle aussi pour les 3 prochains week-ends.

Benoît n'est pas ravi, mais il n'a pas trop le choix. Il prend le chiffon et la boîte. Après avoir ouvert cette dernière, il recueille du cirage sur le chiffon. Maintenant prêt à se mettre au travail, il n'a plus qu'à prendre la bite de son copain dans sa main. Il hésite encore un instant, rebuté par cela, puis il se lance, la prend en main et commence à l'ensuite comme il peut. Ce n'est pas facile, car le sexe d'Adrien est tout mou et par conséquent le cirage ne s'étend pas partout et ne tient pas toujours très bien. Sophie s'en rend compte, en fait, elle s'y attendait certainement.

- Tu ne t'y prends pas comme il faut. Son sexe n'est pas assez dur. Commence par lui faire durcir le sexe, ensuite le cirage sera facile à étaler.

- Comment cela ?

- Ce n'est pourtant pas compliqué. Il faut tout t'expliquer ? Tu le branles, quoi !

- Il peut le faire lui-même. Non ?

- Non, je veux que ce soit toi qui le fasses.

A contrecœur, Benoît prend alors le sexe d'Adrien dans sa main, l'enserre et commence à le masturber. Malgré cela, le sexe de son copain reste quand même mou. Probablement le stress de la situation, à moins que ce ne soit un blocage parce que c'est un homme qui le branle ?

Sophie intervient.

- Tu n'arrives pas à bander ?

- Ben… Non.

- Bon… On va t'aider.

Catherine déboutonne alors sa blouse. Elle semblait être en jupe, mais en réalité, elle est nue dessous. Ses seins sont volumineux et la pilosité de son sexe est assez fournie, mais elle s'est quand même fait épiler le maillot. Sophie prend les seins de Catherine dans ses mains et se met à les peloter. Puis elle descend une main vers le sexe de l'infirmière et commence par le caresser en surface. En fait Catherine s'est aussi fait épiler les lèvres, sa toison est donc limitée à son triangle pubien. Sophie y introduit un doigt, puis deux, puis trois, sans grande difficulté. Pendant ce temps-là, Adrien se met à bander. Une fois son sexe bien dur, Benoît peut enfin étaler correctement le cirage. Le sergent et l'infirmière se gouinent toujours. Sophie retire enfin son treillis, elle porte un ensemble en dentelle noire transparente très sexy. Catherine se penche vers elle, écarte la mince bande de dentelle qui lui cache à peine la fente et commence à lui lécher le sexe.

Benoît ayant fini d'enduire le sexe d'Adrien, il s'arrête et le met à tranquillement regarder les deux femmes en pleine action. Sophie s'en rend compte et lui parle entre deux gémissements.

- Qu'est-ce que tu fais?

- Ca y est, j'ai terminé.

- Tu auras terminé quand je le dirai. Continue à lui astiquer la bite.

Benoît reprend donc le sexe d'Adrien en main tandis que Sophie jouit sous l'effet des caresses prodiguées par la langue de Catherine. C'est alors le sergent qui se met à lécher l'infirmière, commençant d'abord par ses gros seins, elle descend ensuite vers le sexe. Catherine écarte les cuisses en grand afin de permettre à sa copine de pouvoir insinuer sa langue le plus loin possible. A la vue de ce spectacle et à force de masturbation, Adrien finit par éjaculer sur son ventre ainsi que sur la main de B. ce dernier ne sachant après quoi s'essuyer se contente de la frotter contre sa cuisse, étalant malgré lui le sperme de son copain. L'infirmière a prévenu son amie, permettant ainsi à celle-ci de profiter du spectacle tout en se caressant. Sophie ordonne la suite des opérations.

- Bien, maintenant, vous échangez vos places.

Benoît s'installe sur la table libérée par Adrien. Ce dernier se met à le masturber pour faire gonfler sa bite et la rendre suffisamment dure pour qu'elle puisse être ensuite enduite de cirage. De leur côté, les deux femmes se mettent en position de 69, se léchant mutuellement le minou avec application. Alors qu'Adrien est en train de cirer le sexe de son copain. Sophie et Catherine jouissent à nouveau tout en gémissant fortement. Benoît les voyant exprimer leur plaisir, se met à éjaculer pour exprimer le sien. Adrien en a plein la main et est aussi embêté que Benoît tout à l'heure. Le sergent les envoie alors à la douche, il y en a une près de l'infirmerie, pour qu'ils se nettoient des traces de cirage qu'ils ont sur leurs bites et des coulées de sperme qu'ils ont sur leurs corps.

Ils ont bien du mal à tout nettoyer malgré le gel douche que leur a prêté l'infirmière. C'est ce que constate Benoît alors qu'il est en train de se frotter vigoureusement la bite.

- Bon sang, ça a du mal à partir, cette saleté.

- Ouais, je vais finir par me faire mal à la peau du sexe.

- Moi aussi.

- Passe-moi le flacon de gel douche.

- Viens donc le chercher

Adrien sort alors de sa cabine, à force de le frotter comme un malade, son sexe est en érection. Il passe dans la cabine d'à côté, le sexe toujours aussi redressé.

- Alors, ce gel douche ?

- Ça arrive !

Benoît a aussi la bite raide à force de la frotter. Il doit se pencher vers le fond de la douche pour y récupérer le flacon qui est tombé au sol. Quand Adrien voit le cul de son copain, une idée lui revient à l'esprit.

- On ne t'a jamais parlé du coup de la savonnette qui tombe dans la douche?

- C'est dans les prisons, ça, non?

- Pas forcément.

Et tout en disant cela, il applique le bout de sa bite sur l'anus de son copain.

- Ah non. Tu ne vas pas m'enculer quand même?

- Pourquoi pas?

- Parce que je n'ai pas envie.

Et tout en disant cela, Benoît se relève et se retourne pour donner le flacon à son camarade. Leurs bites se touchent, un léger trouble les traverse. Ils se regardent un bref instant, gênés. Puis Adrien quitte la cabine et retourne dans la sienne.

Les deux garçons sortent de la douche peu de temps après. C'est alors qu'ils se rendent compte qu'ils n'ont pas pris de serviette avec eux. Bousculés par les évènements, ils ne savent plus réellement où ils en sont. Ils retournent donc à l'infirmerie, nus et mouillés. L'infirmière est toujours là, mais le sergent est partie. Elle a remis sa blouse, mais maintenant ils savent qu'elle est nue dessous. Ses gros seins bougent dessous et les tétons, excités par le frôlement du tissu, pointent de manière indécente. Adrien et Benoît ont remarqué cela, et leurs sexes, qui n'étaient pas complètement revenus au repos depuis qu'ils sont sortis des douches, se redressent subrepticement. Catherine s'en rend compte, car son regard est le plus souvent dirigé avec envie vers les sexes des deux jeunes garçons. Elle n'a a pas encore pu les toucher et semble impatiente de le faire, l'occasion va lui en être offerte pour son plus grand plaisir.

- Qu'est-ce qu'il vous arrive?

- C'est qu'on n'a pas de serviette pour s'essuyer, madame.

- Je vais vous en passer une, et appelle-moi Catherine.

En fait de leur passer une serviette, elle se charge de les essuyer elle-même, ce qui est l'occasion pour elle de parcourir toute la surface de leur corps. D'ailleurs, la serviette lui échappe régulièrement de la main et elle continue néanmoins à les caresser. Côte à côte, elle peut s'occuper des deux à la fois, n'hésitant pas à s'occuper de leurs parties les plus intimes, allant même jusqu'à leur caresser les fesses de façon prononcée, en particulier l'anus où elle s'attarde à plusieurs reprises, le malaxant du bout de ses doigts. Une fois qu'ils sont bien secs, elle termine en les masturbant suffisamment pour que leurs sexes soient à nouveau raides. Ceci étant fait, elle les congédie tout en leur passant un message.

- A propos. Mon amie Sophie vous demande de vous rendre à la salle de gym à 17 heures précises. N'oubliez pas.

Adrien lui répond maladroitement. Mais en se faisant masturber, ce n'est pas facile de rester concentré.

- D'accord… Euh… Catherine.

Ce qui n'aurait pas du se produire se produit, alors qu'ils sont en train de retourner nus à leur chambre, ils croisent le capitaine, alors qu'il est rarement présent le samedi matin.

- Qu'est-ce que c'est que cette tenue?

- Mon capitaine…

Sans laisser le temps à Benoît de répondre, il reprend, l'air furieux.

- Vous vous croyez chez vous? Faites-moi 50 pompes!

Adrien et Benoît sont bien obligés d'obéir. Ils s'allongent nus sur le sol et commencent à faire des pompes. Le capitaine les laisse au bout d'une vingtaine et prend la direction de l'escalier de sortie. Une fois qu'il a passé la porte, il se met à parler à voix basse à lui-même.

- Sacrée Sophie, elle s'est encore trouvé deux victimes pour le week-end. Ça faisait longtemps. Enfin, tant que ça reste bon enfant.

Epuisés, Adrien et Benoît s'écroulent sur le sol froid bien avant d'avoir atteint le compte de pompes. Après avoir constaté que le capitaine est bien parti, ils se relèvent et retournent à leur chambre au plus vite pour éviter à une mauvaise rencontre de ce genre.

3. Repos

Une fois rentrés dans leur chambre, ils s'allongent nus, chacun sur son lit. Ils restent ainsi quelque temps, pour décompresser, tout en profitant du calme ambiant. Adrien rompt le silence le premier.

- Putain, 25 pompes, c'est dur.

- Tu aurais préféré 48 heures de plus?

- Non, évidemment. Bon, à part ça, aucun mot aux autres sur ce qui s'est passé.

- Bien sur.

Epuisés, ils restent allongés sur leurs lits, nus comme des vers, car il fait déjà chaud. Chacun prend un livre et se plonge dedans pour patienter jusqu'au repas.

Arrive enfin midi. Ils s'extraient péniblement de leurs lits, s'habillent et partent pour manger. Il n'y a guère de monde à l'ordinaire (la cantine, en termes militaires), à part les services de garde du régiment. Ils ne s'attardent donc pas et dès leur repas terminé, ils retournent dans leur chambrée. N'ayant rien de particulier à faire, ils s'allongent à nouveau sur leurs lits pour lire.

Il fait plutôt chaud, ils en profitent donc pour se mettre à l'aise. Après avoir retiré son treillis, Benoît se tourne vers son copain.

- Dis-moi, ça t'ennuie si je me mets à poil ?

- Fais comme tu veux, ça ne me dérange pas, puisqu'on était déjà à poil avant le repas.

Pendant qu'il se déshabille, Benoît laisse aller son esprit.

- Tu peux te déshabiller aussi, si tu veux.

Adrien lui répond avec un léger sourire narquois.

- Pourquoi, tu veux me mater ?

Du coup Benoît, qui se tient debout, nu, devant son copain, se sent un peu gêné par ce qu'il vient de dire.

- Non, comme ça… Ce matin, tu étais à poil, toi aussi.

- Bon, si ça peut te faire plaisir.

- Mais non. Ce n'est pas ce que je voulais dire.

- Ce n'est pas grave, je le fais quand même.

Adrien se relève et se déshabille à son tour.

Une fois nu, il s'allonge, puis se tourne vers Benoît, son sexe posé sur sa cuisse.

- Dis-moi, ça t'a fait quoi quand tu m'as branlé ?

- Comment ça ?

- Qu'est-ce que tu as ressenti ?

- Moi, ça a été. Mais toi, tu devais être stressé. Tu n'arrivais pas à bander.

- Ça a été mieux dès que ces deux cochonnes se mises à se toucher.

- Oui, ça c'était bon.

- Les saloopes!

- A part ça, tu as bien failli m'enculer tout à l'heure.

- Pas fait exprès, tu étais trop près, en te penchant tu t'es rapproché de ma bite.

- Tu veux dire que ce n'est pas toi qui as voulu m'enculer, mais que c'est moi qui ai cherché à me faire enculer par toi? T'es gonflé!

- Non, pour l'instant, je suis plutôt au repos.

- Hein?!

Rapidement, Benoît comprend l'allusion qu'Adrien a faite quant à la taille de son sexe et en rit.

- Ah! Ah! Ah! Excellent.

Tout en rigolant, Benoît se caresse la bite. Il le fait machinalement, certainement par habitude.

- Ça m'a excité tout ça. Ça t'embête si je me masturbe un peu?

- Tu veux faire ça en me regardant? T'es dégueulasse.

Tout en lui répondant, Benoît commence à se branler.

- Mais non, j'ai des bouquins de cul dans mon armoire.

C'est vrai? Tu m'en passes un?

- Ah… Toi aussi, tu veux te branler?

Pour joindre le geste à la parole, Adrien commence à se masturber à son tour.

- Oui, pourquoi pas…

Benoît se lève, son sexe est déjà devenu raide. Il ouvre la porte de son placard et en sort un petit cartable noir.

- Alors, qu'est-ce qui t'intéresse?

Adrien continue toujours à se branler, allongé sur son lit. Son sexe a gonflé et s'est redressé à son tour.

- Je ne sais pas. Fais voir ce que tu as.

Benoît s'assied alors sur le côté gauche du lit d'Adrien, à côté de celui-ci. Il ouvre la sacoche et en ressort une dizaine de revues et autres magazines. Il commence à les feuilleter tout en se caressant, Adrien pour sa part est passé à la vitesse supérieure et s'astique la verge de tout son long. Ce qui devait arriver ne tarde pas, il éjacule, emporté par le plaisir de sa jouissance, les jets de sperme qu'il fait gicler partent haut et retombent sur lui, mais également sur Benoît que cela a surpris. Il en a reçu sur le bras droit, le flanc et une partie du torse.

- Ah, quel dégueulasse. Tu ne pouvais pas éviter de me gicler dessus?

- Excuse-moi, c'est parti tout seul.

- Et avec force. Pour un peu plus tu m'atteignais le visage.

- Désolé.

- Bon, mais maintenant, tu nettoies!

Pendant qu'Adrien ouvre son placard pour y prendre un paquet de mouchoirs en papier, Benoît reprend sa masturbation. Quand son copain arrive à côté de lui avec un mouchoir, il ne sait quoi faire.

- Bon, alors? Je t'essuie ou tu te termines?

- Tu n'as qu'à m'essuyer en même temps, ça ne me dérange pas.

- Bon…

Adrien commence donc à retirer les traces de sperme qu'il a mises sur son copain, mais il n'a pas le temps de terminer que Benoît jouit à son tour et s'arrange pour lui gicler dessus à son tour. Couvert de sperme sur tout le bras, Adrien réagit.

- Ah le salaud! Tu ne m'as pas loupé.

- Petite vengeance. Ne m'en veux pas, je vais te nettoyer.

Adrien lui passe un mouchoir et chacun termine d'essuyer l'autre. Recueillant ainsi, non seulement son propre sperme, mais aussi celui de son ami.

Adrien retourne à son placard, range les mouchoirs et prend une serviette.

- Tu viens prendre une douche?

- Pourquoi, tu veux m'enculer?

- C'est malin! Non, c'est juste pour être propre quand on ira à la salle de sport.

- C'est vrai, mais j'ai un peu la flemme pour l'instant. J'irai tout à l'heure.

Adrien range sa serviette.

- Bon.

- Mais tu peux y aller si tu veux.

- Non, j'attendrai.

- C'est bien ce que je dis, tu veux m'enculer sous la douche.

- T'es con!

Les deux garçons retournent s'allonger sur leurs lits respectifs, un livre à la main, se caressant quelquefois la bite de l'autre main, attendant tranquillement qu'il soit temps d'aller à la douche.

Vers 16 heures 30, Adrien se lève, range son livre et prend sa serviette et du gel douche.

- Bon, j'y vais. Tu viens?

- Tu ne peux pas y aller seul?

- Si. Puisque tu n'as pas envie de venir, j'y vais seul.

- Mais si, je viens. Comme ça tu pourras m'enculer.

- Mais puisque je t'ai dit que je n'en ai pas envie.

- Moi non plus, ça tombe bien.

Et tout en disant cela, Benoît se lève à son tour, prend sa serviette et aussi son flacon de gel douche. Pendant ce temps, Adrien, qui s'est dirigé vers la porte, l'attend nu, ce qui surprend Benoît.

- Tu veux aller aux douches comme ça?

- Ben oui, elles sont juste à côté.

- Et si on croise quelqu'un?

- Pas à cette heure-ci. Je prends le risque.

- Bon, pourquoi pas. Mais si tu te trompes, je t'encule dans la douche.

- Tu ne penses qu'à la sodomie toi. Quand tu ne parles pas de te faire enculer, tu veux enculer les autres. De toute façon, il n'y a personne, je n'ai rien à craindre.

Les deux garçons quittent leur chambre et vont jusqu'à la douche, qui n'est pas bien loin. Ils ne croisent personne entre temps. Une fois arrivés dans la douche, Adrien laisse sa serviette sur le banc, tout comme Benoît, et chacun va dans une cabine. Pendant que l'eau lui coule dessus Adrien, parle à son copain, élevant la voix pour couvrir le bruit de la douche.

- Et voilà! J'ai gagné! Ce n'est pas aujourd'hui que tu auras mon cul.

- Il y a encore le retour.

- Tu parles! Il n'y aura pas plus de monde.

Ils terminent de se rincer, sortent de leurs douches et vont se sécher côte à côte au bord du banc. Les deux garçons sortent alors de la salle des douches. Adrien se retrouve face à face avec Sophie au niveau de la porte.

- Vous n'avez pas oublié notre rendez-vous?

- Non, sergent. Nous y serons.

- Vous venez en treillis, d'accord?

- D'accord, sergent.

Les deux garçons retournent à leur chambre. Une fois dans celle-ci, Benoît ne peut s'empêcher de clamer sa victoire.

- J'ai gagné!

- Quoi donc?

- Tu as déjà oublié ou préfères ne pas y penser? J'ai gagné le droit de t'enculer.

- Mais j'ai dit ça comme ça.

- Parce que tu étais persuadé de ne rencontrer personne?

- Ben oui. Elle fait chier, le sergent. D'ailleurs, elle n'arrête pas de faire chier.

- Moi, je la trouve sympa. A propos… Je t'encule tout de suite ou on attend plus tard?

- Tu fais chier. T'es vraiment obsédé. En tout pas, pas maintenant, on n'a plus le temps avant 17 heures.

- C'est vrai. Je préfère prendre mon temps. Ce sera meilleur.

- Pour toi peut-être, pas pour moi.

- Mais non. C'est surtout une question de préparation. Il faut y aller doucement.

Pendant qu'ils continuent leur conversation, ils commencent à s'habiller pour aller à la salle de gym, enfilant tout d'abord des sous-vêtements propres avant de mettre leurs treillis, puis de chausser leurs rangers. Adrien se renseigne sur ce qu'il risque de lui arriver.

- Tu es un spécialiste de la sodomie?

- Disons que j'aime ça et que je sais bien m'y prendre.

- Et tu as déjà sodomisé beaucoup de mecs?

- Aucun, tu seras le premier. Mais je ne pense pas que ce soit différent d'avec une fille.

- Et ça fait mal?

- Si on y a doucement, juste un peu au début. Quand la douleur est passée, il parait que ça devient agréable.

- Pourquoi, "il parait"? Tu n'as jamais essayé.

- Ben non. Je ne suis pas assez pédé pour ça.

- T'inquiètes, je vais t'arranger ça.

- Minute! C'est toi qui as perdu, ce n'est pas moi.

- Et tu n'as jamais eu la curiosité de savoir l'effet que ça fait?

- Question à la con. Je ne répondrai pas.

- Bon, je n'insiste pas plus. Du moins pour l'instant.

- Moins cinq. De toute façon, il faut y aller.

- C'est parti!

Les deux garçons sont à présent prêts. Ils quittent leur chambre, puis le bâtiment, pour aller en direction du gymnase, situé à 200 mètres de là.

4. Séance de gym

A 17 heures pile, Adrien et Benoît se présentent à l'entrée du gymnase, habillés en treillis comme demandé. Le sergent est déjà présente, elle est vêtue d'un body blanc très moulant et assez échancré au niveau de l'entrejambes. Le tissu est fin, on parvient même à deviner l'aréole de ses seins et la fente de son sexe.

- Vous avez apporté des vêtements de sport?

C'est Adrien qui lui répond.

- Ben non. Vous nous avez demandé de venir en treillis.

- L'un n'empêche pas l'autre. Vous étiez à poil en sortant de la douche. Je voulais juste vous faire remarquer qu'il faillait vous habiller pour venir.

- On peut retourner les chercher.

- Non, ce n'est pas grave. Vous n'avez qu'à retirer votre treillis.

Les deux garçons s'asseyent donc sur un banc, retirent leurs rangers, puis leur pantalon et leur veste de treillis. Ils ne portent plus que leurs slips et leurs chaussettes.

Voyant qu'ils sont prêts, Sophie quitte le vestiaire en direction de la salle.

- Suivez-moi.

Elle s'installe sur un appareil destiné à la musculation des jambes. Les deux garçons se sont mis face à l'appareil, ne sachant quoi faire.

- Qu'est-ce qu'on fait?

- Rien, restez où vous êtes.

Ils se retrouvent donc face à elle, et comme par hasard dans l'axe de ses jambes. Le sergent commence à exécuter les mouvements, ceux-ci lui faisant écarter et resserrer les cuisses. Son body se met alors à glisser progressivement et lui rentre lentement dans la fente. Le bord des lèvres de son sexe commence même à être visible, heureusement qu'elle est intégralement épilée, sinon ses poils pubiens seraient bien visibles. Habitués depuis la veille à ce genre d'exhibition, les deux garçons ne se gênent pas pour profiter du spectacle qui est offert à leurs yeux.

Sophie va ensuite s'allonger sur un banc pour faire des abdos. Adrien et Benoît l'ont suivie docilement, elle va tirer parti de leur présence.

- Tenez moi donc les jambes. Un de chaque côté.

Ils se placent à genoux, comme elle l'a demandé et la bloquent en maintenant une pression sur ses mollets. Sophie commence ses mouvements. Le body rentre maintenant entièrement à l'intérieur de sa fente, ses grandes lèvres passant de part et d'autre. Les deux garçons commencent à être sérieusement excités et leurs bites déforment tellement leurs slips que ceux-ci forment un monticule. Une fois qu'elle a fini sa série de 50, elle se relève et se tourne du côté de Benoît pour lui parler.

- Mets-toi sur le banc, on va voir ce que tu vaux aux abdos.

Benoît se relève, elle en profite pour lui baisser son slip. Son sexe, déjà bandé, se redresse vers le plafond.

- Et retire moi ça, tu seras plus à l'aise. Serré comme c'était, ça devait te faire mal.

- un peu, sergent.

Benoît achève d'enlever son slip, il ne porte maintenant plus que les chaussettes noires en laine qui arrivent au genou et que l'on met avec les rangers. Il s'allonge sur le banc, Sophie et Adrien peuvent alors lui tenir les jambes. Il commence à effectuer quelques abdos mais rapidement, la main du sergent se porte sur son sexe bien raide et commence à le caresser. Rapidement, les caresses se muent en masturbation.

Au bout d'un temps, elle prend la main libre d'Adrien et la pose sur le sexe de Benoît. Adrien, qui commence à être habitué, se met à son tour à masturber son copain. Sophie en profite pour se pencher vers ce sexe en érection et en lèche les testicules, tandis qu'Adrien le branle. Remontant progressivement le long de la bite, elle en arrive progressivement au bout. Elle l'avale alors en entier et pendant ce temps Adrien se charge de caresser les couilles de son ami. Sophie et Adrien ne sont qu'à quelques centimètres l'un de l'autre, juste séparés par Benoît. Elle se penche alors vers son vis-à-vis. Et échange un baiser langoureux avec lui tout en masturbant son copain. A peine Adrien s'en est il remis qu'elle revient l'embrasser à nouveau. Cela dure, et progressivement, ils descendent, se rapprochant du sexe de Benoît.

C'est alors qu'elle redresse le sexe qu'elle a dans la main. Il se retrouve d'un seul coup entre leurs deux bouches. Elle le lèche tout en embrassant Adrien. Ce dernier est bien obligé d'accepter la présence du sexe de son copain au bord de sa bouche. Le sergent s'écarte de quelques centimètres. Juste de quoi pouvoir parler à voix basse à Adrien.

- Tu as déjà sucé un autre homme?

- Non.

- Pourquoi?

- Parce que c'est dégueulasse.

- Mais non, tu le fais bien en ce moment.

- Pas tout à fait, je ne l'ai pas entièrement dans la bouche.

- Eh bien, essaye.

- Je n'ai pas envie.

- Tu ne risques rien à essayer. Comment peux-tu ne pas en avoir envie si tu n'as jamais essayé?

Tout en disant cela, elle prend le sexe de Benoît dans sa main et le fait pénétrer dans la bouche d'Adrien.

- Allez! Essaye!

N'osant pas trop contrarier le sergent. Adrien commence à lécher timidement le sexe de son copain. Il reçoit même les encouragements du sergent.

- C'est bien. Continue!

Adrien s'enhardit alors, il prend la bite de son copain entièrement dans sa bouche et le met à le sucer pour de bon. Sophie quand à elle, se charge de lécher les couilles de Benoît. Ce dernier, gémit de plaisir sous l'effet de la fellation prodiguée par son copain. Il est au bord de la jouissance et le sergent s'en rend compte. Elle reprend le sexe dans sa main et le branle tout en embrassant Adrien à pleine bouche. Benoît ne tarde pas à jouir, son éjaculation est importante, signe d'une intense excitation certainement due à la situation. Sophie ayant orienté le membre comme elle le souhaitait, elle a reçu toutes les giclées de sperme sur son body blanc au niveau de la poitrine. Le tissu en devient translucide là où il est humide.

- C'est bien. Tu as bien travaillé.

- Merci, sergent.

- Maintenant, viens tout étaler sur moi.

Adrien avance ses mains vers elle et commence à répartir le sperme sur toute sa poitrine. C'est assez facile, car elle a très peu de seins, il lui suffit de quelques mouvements pour que le sperme de son copain recouvre tout le haut du body. Celui est devenu presque transparent de partout. Auparavant, on arrivait juste à deviner l'aréole de ses seins à travers le tissu, maintenant c'est toute sa poitrine qui est bien visible. Adrien cesse alors, ce qui déçoit Sophie.

- Continue.

- Mais il n'y a plus rien à étaler.

- Mais si, il en reste sur ton copain.

Adrien récupère alors avec ses mains le sperme encore présent sur le sexe de Benoît. Alors qu'il va pour l'étaler sur la poitrine de Sophie, elle se penche et lui suce les doigts. Visiblement satisfaite, elle se relève et part en direction du vestiaire.

- Attendez-moi, je reviens.

A peine remis de ses émotions, Benoît se redresse et s'assied sur le banc. Adrien vient se placer à côté de lui, visiblement troublé. Son copain s'en rend compte.

- Ça ne va pas?

- Je ne me sens pas très bien.

- Je m'en doute un peu. Allez, ce n'est pas bien méchant. Tu m'as sucé un peu, c'est tout.

- Tu trouves?

- Ce matin tu m'as bien branlé, et tu ne t'es pas mis dans un tel état.

- Ça commence à faire beaucoup. Et en plus, ce soir, tu m'encules.

- Si tu veux, je te laisserai m'enculer aussi. Il n'y a pas de raison. Si tu le fais doucement.

- Bon.

- Tu sais, ça aurait pu être pire.

- Comment ça?

- Elle aurait pu te faire avaler.

- Bah! T'es dégueulasse!

- Mais non. C'est la vie. En plus, je ne sais même pas encore ce qui m'attend.

Adrien sourit et tape sur la cuisse de son copain.

- C'est vrai, ça. Tu vas me sucer aussi, mon gars.

- Peut-être. Tu vois, tu vas déjà mieux!

Leur conversation prend fin, car le sergent est déjà de retour. Elle rapporte un préservatif qu'elle donne à Benoît. Celui-ci ne comprend pas pourquoi.

- Sergent, il y a un problème. Je ne pourrai pas tout de suite. Je dois me reposer un peu.

- Je le sais bien. Je veux que tu l'enfiles sur le sexe de ton copain.

- Il ne peut pas le faire lui-même?

- Non, je veux que ce soit toi qui le lui fasses.

Adrien se lève et retire enfin son slip à son tour, sa bite est déjà gonflée mais pas encore raide. Ainsi, il se retrouve lui aussi, juste vêtu de ses chaussettes de laine noire. Benoît, toujours assis, commence alors à branler son copain tandis que le sergent supervise les opérations.

- Vas-y, suce le aussi.

Adrien se tourne alors pour faire face à Benoît, celui-ci n'a plus qu'à s'avancer de quelques centimètres pour prendre la bite de son ami dans sa bouche et le sucer. Ne voulant pas faire moins bien que son copain, il s'applique à lui prodiguer une fellation parfaite, avalant bien à fond et n'hésitant pas à lui lécher la bite sur toute la longueur. Il espère ainsi lui redonner le moral après l'épreuve qu'il vient de subir.

Malgré tant de bonne volonté et une telle application, le sergent ne veut pas qu'il en fasse plus.

- Arrête toi là. Tu peux lui enfiler la capote maintenant.

Voilà qui arrange plutôt Benoît qui se demandait jusqu'où il allait devoir sucer son copain. Il ouvre donc le préservatif et le déroule sur le sexe d'Adrien. Pendant ce temps, Sophie s'est allongée au sol sur un tapis de mousse. Elle porte toujours son body blanc couvert de sperme sur la poitrine et qui lui rentre dans la chatte. Adrien, le sexe raide et recouvert de caoutchouc se place sur elle. C'est à Benoît que revient le devoir d'effectuer l'introduction. Il doit pour cela écarter le tissu du body, ce qui n'est pas simple car il est assez tendu. Il introduit en suite un doigt dans le sexe de Sophie. Il passe rapidement à deux doigts tout en masturbant son copain de l'autre main pour qu'il reste en forme. Le sergent apprécie cette caresse.

- C'est bien, tu me fais mouiller. Fais goûter à ton copain.

Benoît retire ses doigts trempés et les donne alors à sucer à Adrien qui les lèche avec application. Sophie s'adresse à Adrien.

- Tu as aimé?

- Oui, sergent.

- Et toi, Benoît, goûte aussi.

Benoît remet alors les doigts dans la chatte du sergent et les retire couverts de mouille. Il les porte à sa bouche et les suce à son tour.

- C'est bon?

- Oui, sergent.

- Alors maintenant, mets-moi la bite de ton copain. Je n'en peux plus d'attendre.

Benoît introduit alors le sexe de son ami dans celui de Sophie. Adrien peut enfin commencer ses mouvements de va et vient. Le sergent ne tarde pas à gémir sous l'effet bienfaisant de la pénétration. Elle demande alors à Benoît de venir se placer derrière elle, lui permettant ainsi l'avoir la tête relevée, car appuyée contre le ventre de celui-ci. Benoît se met alors à lui caresser les seins à travers le body. Le tissu est humide et poisseux. Le bout des seins de Sophie se durcit rapidement. Benoît écarte le tissu pour mieux la caresser et pouvoir lui tripoter les tétons. Adrien se retrouve rapidement au bord de l'éjaculation, le sergent s'en rend compte et donne de nouvelles directives.

- Retire ta capote et gicle-moi dessus.

- A vos ordres, sergent.

A peine à t'il eu le temps de retirer le latex que le sperme commence déjà à perler au bout de sa bite. La prenant en main, il commence à se masturber, mais guère longtemps, car il jouit presque immédiatement. Les copieuses giclées de sperme viennent s'étaler sur la poitrine de Sophie et sur les mains de Benoît qui la caressait. Continuant sur sa lancée, les dernières giclées atterrissent sur le visage du sergent et sur le ventre de son copain. Guère dégoûté, Benoît se charge de bien étaler le sperme de son copain sur le corps de Sophie, tandis que celle-ci se masturbe pour jouir encore une dernière fois.

Le sergent n'est pas encore satisfaite. Elle se redresse, se rapprochant ainsi d'Adrien, pour lui demander encore plus.

- Viens me lécher les seins.

- Mais ils sont couverts de sperme.

- C'est le tien. Tu n'as jamais goûté ton sperme?

- Si.

Il se penche alors vers elle et commence à lui suçoter timidement le sein droit. Pendant ce temps-là, elle prend Benoît par le bras pour qu'il se rapproche d'elle à son tour. Il a bien compris ce qu'elle veut, mais va-t-il lécher le sperme d'un autre? Il se pose sérieusement la question, mais voyant que son copain n'est guère à l'aise, il choisit de faire de même pour qu'il se sente moins seul. Il se penche donc vers le sein gauche et commence à le mordiller du bout des dents. Une odeur de sperme envahit ses narines, toute la poitrine du sergent en est recouverte et il a déjà commencé à sécher. Il se met alors à lui suçoter le sein, puis il le lèche. Un drôle de goût arrive dans sa bouche, le sperme de son copain s'est dilué avec sa salive et il est en train de le lécher. C'est en levant les yeux qu'il voit son ami à côté de lui en train de s'occuper pareillement de l'autre sein. Adrien est en train de le lécher avec application, nettoyant par là même tout le sperme qui était collé dessus. Benoît se lance et fait de même de son côté, ne se gênant plus pour lécher et récolter dans sa bouche la semence de son copain. Sophie prend la main d'Adrien pour qu'il lui mette ses doigts dans la chatte. Celui-ci se fait beaucoup moins prier que quand il a été question qu'il lèche son sperme, il lui met rapidement deux doigts, puis trois, les introduisant dans le vagin, mais jouant aussi avec le clitoris de temps en temps. Le sergent qui en veut encore plus, prend alors la main de Benoît pour qu'il fasse de même. Les deux garçons se retrouvent alors occupés à la même chose, chacun d'un côté, léchant la poitrine du sergent tout en lui introduisant deux doigts chacun dans le sexe. Une telle stimulation ne tarde pas à faire effet, elle jouit bruyamment, dans un gémissement entrecoupé de cris rauques.

Visiblement son plaisir a été intense. Se relâchant de tous ses muscles, elle se laisse aller et reste gisante au sol une longue minute, savourant bien à fond tout le plaisir qu'elle vient de ressentir. Adrien et Benoît sont à côté d'elle et attendent qu'elle sorte de sa torpeur. Ils échangent quelques regards en disant long sur l'expérience incroyable qu'ils viennent de vivre.

Après un grand soupir, Sophie se relève d'un coup et va s'asseoir sur le banc, le temps pour elle de reprendre ses esprits. Puis elle se met debout et retourne vers le vestiaire, suivie par les deux garçons qui ont repris leurs slips avec eux.

- Une bonne douche pour tout le monde. Ça nous fera le plus grand bien.

Ce ne sont pas les deux garçons qui seront contre cela. Ils sont impatients de se nettoyer des traces de sperme qu'ils ont sur eux, surtout quand ce n'est pas le leur. Ils retirent donc leurs chaussettes et les placent avec leurs slips près de leurs treillis. Pendant ce temps, le sergent achève enfin de retirer son body, celui-ci sera bon pour la machine à laver, et prend son flacon de gel douche et une serviette.

Les deux garçons l'accompagnent jusqu'à la douche, mais Il n'y en a qu'une seule. En fait, il s'agit plutôt d'une cabine collective puisqu'il y a plusieurs pommes de douche disposées le long du mur. Chacun se place sous l'une d'entre elles et commence à faire couler l'eau rafraîchissante et bienfaisante sur son corps. Le sergent est la première à se savonner, puis elle passe son flacon de gel aux deux garçons qui commencent à se laver à leur tour. C'est quand Adrien lui rend le flacon qu'elle leur demande un petit service.

- Venez donc me laver le dos.

Les deux garçons ne se font pas prier et viennent la savonner, n'hésitant pas à descendre le long de la raie des fesses ou à lui caresser les seins. Elle se retourne alors, et se met à les savonner à son tour. Placés tous les trois suivant un triangle, Sophie peut les caresser tous les deux à la fois. Les garçons qui, jusqu'à présent, la caressaient de leurs deux mains n'en utilisent plus qu'une. Progressivement et sans s'en rendre compte, chaque garçon en arrive à caresser l'autre de sa main libre. Au bout de quelques minutes, ils se caressent mutuellement tous les trois sans aucune retenue. Encore quelques minutes de plus et ils sont maintenant en train de se masturber ensemble, chacun se partageant les sexes de deux autres à tour de rôle. L'excitation monte vite, et malgré qu'ils viennent d'éjaculer il y a peu, les deux garçons jouissent à nouveau, suivis par Sophie, submergée de plaisir une nouvelle fois. Tous les trois retournent se nettoyer une dernière fois, puis se sèchent en se partageant l'unique serviette apportée par Sophie.

De retour au vestiaire, les deux garçons se rhabillent tandis que Sophie les regarde faire, toujours aussi voyeuse. Elle leur annonce le planning du lendemain alors qu'ils sont prêts à partir.

- Soyez prêts demain matin à onze heures.

Benoît lui répond. Curieux, mais prévoyant.

- D'accord sergent. Qu'est-ce qu'on fera? On doit amener une tenue spéciale?

- Non. En treillis ce sera très bien. Nous sortirons pour profiter de la nature et du beau temps.

5. Soirée entre garçons

De retour dans leur chambrée, les deux garçons, sérieusement épuisés par les efforts passés, s'effondrent sur leurs lits sans même prendre le temps de retirer leurs rangers. Ils restent comme cela, silencieux, à moitié assoupis. Ils sont certainement en train de repenser à ce qui vient de leur arriver, essayant d'analyser cette expérience dans le but de l'assumer.

L'un comme l'autre pensent à la même chose. Oui, d'accord, j'ai sucé un autre homme. Est-ce que c'est grave? Pas tant que ça. Après tout, il n'y a aucune implication. Même si cela recommence durant le pique-nique, ce sera terminé demain soir. Ce n'est pas parce que l'on a sucé un homme une fois dans sa vie que l'on va se détourner des filles par la suite. Ce serait plutôt un peu comme une expérience personnelle. Est-ce une expérience enrichissante? Ce n'est pas facile de le savoir. En tout cas, ce qui est certain, c'est que c'est différent. Y a t il un risque de devenir homosexuel? Aucune idée. On verra par la suite. C'est aussi une question de choix personnel.

Ils restent perdus dans leurs pensées jusqu'à l'heure du repas. Une fois celle-ci arrivée, ils se lèvent et se rendent, un peu vaseux, jusqu'à l'ordinaire. Après manger, ils vont au foyer du soldat. On est samedi soir, il n'y a presque personne. Ils y boivent quelques bières pour passer le temps, et rentrent dans leur chambrée vers 21 heures, un peu bourrés. Sans plus attendre, ils retirent leurs rangers, puis leurs treillis. Benoît, quant à lui, se met carrément nu. Cela ne surprend plus Adrien qui finit par avoir l'habitude de voir son copain à poil, ça lui donnerait même des envies.

- Dis-moi, tu peux me passer une de tes revus?

Benoît va à son placard, prend la sacoche noire, s'allonge sur son lit avec, l'ouvre et commence à feuilleter les magazines.

- Tu veux te branler?

- Pourquoi pas?

- Alors, viens les chercher.

Adrien, qui a gardé son slip et son t-shirt, se lève et vient s'asseoir au bord du lit de Benoît. Ce dernier commence à se masturber tout en lui parlant.

- Vas-y choisis.

Adrien commence à feuilleter les magazines. Pendant ce temps-là, Benoît s'est placé derrière lui et les regarde aussi par-dessus son épaule tout en se masturbant. Sa bite a grossi et commence à être en érection.

Adrien se doute de ce qui se passe dans son dos et cela le rend légèrement nerveux.

- Dis, tu pourrais arrêter de te masturber dans mon dos?

- Pourquoi? Tu as peur que je te gicle dessus?

- Non, ce n'est pas ça. Et pourtant… Depuis ce matin, tu l'as fait à plusieurs reprises.

- Bon j'arrête, mais laisse-moi te branler alors.

- Quoi? Tu veux me branler? Tu n'es pas bien?

- Ça ne sera pas la première fois de la journée. Comme ça, tu auras les deux mains libres pour lire.

- Bon. Pourquoi pas. Mais tu me suces aussi, alors.

- On verra. Peut-être que oui. Mets-toi donc à poil.

Adrien se déshabille enfin. Son sexe a déjà commencé à grossir dans son slip. Est-ce du à la lecture du magazine, à la présence de Benoît nu qui s'est branlé à côté de lui, ou à l'idée de ce qui va se passer? Benoît a vu le sexe de son copain, il se pose la question et est bien incapable d'y répondre. Il ne songe pas à lui demander de peur de tout gâcher. Une fois nu, Adrien revient sur le lit, mais cette fois-ci, il s'allonge pour permettre à Benoît de s'occuper de lui.

Adrien prend alors l'un des magazines entre ses mains et commence à le parcourir sans se soucier de Benoît. Ce dernier, qui s'est placé à côté de son ami, prend son sexe dans sa main et commence à le masturber. Rapidement, le sexe d'Adrien répond à ces sollicitations et se redresse tout en prenant encore du volume. Benoît continue à la branler, puis n'y tenant plus, il s'approche encore plus de la bite de son copain et la prend enfin dans sa bouche. Il s'applique alors à prodiguer à son camarade la meilleure fellation qu'il n'ait jamais reçue, avalant sa bite à fond, la léchant sur toute sa longueur et lui avant aussi les couilles. Adrien n'est pas insensible à tout cela, il en gémit et se remue sous l'effet du plaisir que lui prodigue son copain. D'ailleurs ce dernier s'en rend bien compte, il retire la bite d'Adrien de sa bouche le temps de dire quelques mots.

- C'est bon, hein?

- Ah, ça. C'est super.

- Une fille t'a déjà sucé comme ça?

- Jamais. Enfin… Je veux dire que je ne me suis jamais fait sucer jusqu'à présent.

- Ta copine ne te suçait pas?

- Ben non.

- Tu verras, tu en trouveras une nouvelle qui te sucera. En attendant, pour commencer, tu te fais sucer par un mec.

- Ben oui. Tant pis… Ne le prends pas mal. Je veux juste dire que j'aurais préféré que ce soit une fille qui me suce. Mais tu le fais très bien et c'est super bon.

- Merci du compliment.

Benoît reprend sa fellation de plus belle. Adrien en profite au maximum, transporté par le plaisir, il a posé son magazine et le contente de regarder son copain le sucer.

Tout d'un coup, une idée inquiétante lui traverse l'esprit.

- Dis donc, j'y pense. Qu'est ce que tu espères en échange?

Benoît retire à nouveau la bite de sa bouche.

- Bonne question. Voyons… Et si tu m'offrais ton cul? Après tout, j'ai gagné mon pari.

- C'est vrai, j'avais oublié. Tu me promets de ne pas me faire mal?

- Promis. Si ça ne va pas, j'arrête.

- Enfin bon, pour la peine. Tu pourras me sucer jusqu'au bout.

Benoît est quand même un peu dégoûté à l'idée de faire cela.

- Tu veux que je reçoive ton sperme dans ma bouche?

- Tu l'as bien léché tout à l'heure sur la poitrine du sergent.

- C'est vrai. Bon. J'accepte. Mais je recracherai.

- Fais comme tu veux.

Benoît reprend sa fellation alors qu'Adrien n'est pas loin de jouir. C'est d'ailleurs chose faite quelques instants plus tard. Benoît se prend dans la bouche tous les jets de sperme chaud qui giclent hors de la bite de son copain. Ils sont nombreux et Benoît a bien du mal à tout garder entre les lèvres jusqu'au bout. Il a également l'impression d'en avoir quand même avalé un peu malgré lui. Un mince filet de sperme coule à la commissure de ses lèvres. Il se penche et ramasse le slip qu'il avait laissé au sol et recrache dans celui-ci tout le sperme qui lui reste dans la bouche.

Curieux, Adrien ne peut s'empêcher de questionner son copain.

- Alors?

- Alors quoi?

- C'était comment?

- Un peu le même goût que cet après-midi, mais en plus intense, bien sûr.

- C'est une question de quantité.

- Certainement.

- A propos, tu as des capotes?

- Oui, ne t'inquiètes pas. J'en ai.

Pendant que Benoît ouvre son placard pour y prendre un préservatif, Adrien change donc de position sur le lit, pour qu'il puisse se faire enculer par son copain.

- Je me mets sur les genoux, penché en avant?

- Oui, c'est ça.

Benoît a sorti la capuche de latex de son étui, mais son sexe est encore mou. Pas question de la dérouler ainsi.

- Ce qui serait sympa, ce serait que tu me suces un peu, pour pouvoir enfiler la capote.

- Mouais…

- Allez, sois sympa.

- Bon. C'est bien pour te faire plaisir.

Adrien se retourne et commence immédiatement à mettre la bite de son copain dans sa bouche. Il en profite également pour lui montrer que lui aussi sait réussir une fellation, avalant bien à fond et lui léchant la bite sur toute la longueur. Rapidement, le sexe de Benoît se retrouve en pleine érection. Adrien prend le préservatif et le déroule sur le membre de son ami. Tout en faisant cela, il pense à la suite.

- Je suis en train de me demander si je préfère me faire enculer ou bien te sucer à fond.

- On peut faire l'un puis l'autre si tu veux.

- Ce n'est pas ce que je voulais dire. Je ne cherche pas à faire les deux, mais à faire le moins pire.

- La fellation, ça ne fait pas mal. Par contre, tu en auras plein la bouche.

- Tu sais, avec la sodomie, j'en aurai plein le cul.

- Mais non, puisque je mets une capote.

- C'est vrai.

- Mais si tu veux, plutôt que de jouir dans la capote, je la retire quand je suis prêt à jouir et je me termine dans ta bouche.

- Pas question. Allez, viens m'enculer.

Adrien se remet en position sur le lit. Benoît vient derrière lui et commence à lui tripoter l'anus avec les doigts. Progressivement, il lui lubrifie la rondelle avec de la salive et commence à y introduire un doigt, puis deux.

- Ça va?

- Tout va bien. Tu peux continuer.

Benoît présente enfin sa bite à l'entrée du petit trou de son copain. Il y va très doucement, avançant centimètre par centimètre. Au bout de cinq minutes, il est enfin rentré en entier dans le cul de son copain.

- Ça va toujours?

- Oui.

- Pas trop mal?

- Non, ça va. Ce n'est pas pire que d'être constipé.

- Bon. Je continue.

Benoît commence alors à effectuer des va et vient dans les entrailles de son camarade. Il commence en douceur, puis se met progressivement à accélérer au fur et à mesure qu'Adrien se détend, son anus se relâchant par la même occasion. Au bout de quelques minutes de sodomie, Benoît s'enquiert de ce que ressent son ami.

- Ça va toujours?

- Oui.

- Tu n'es pas très bavard. Ça ne te fait rien?

- Bof, pas grand-chose.

Surpris que son ami ne ressente rien de particulier, il se penche pour prendre en main son sexe et le masturber. C'est ainsi qu'il constate qu'Adrien bande déjà.

- Ben dis donc, et tu dis que ça ne te fait rien?

- Ah oui, c'est vrai, je bande.

- Donc, tu apprécies?

- Peut-être que oui. Mais je ne veux pas passer pour un enculé.

- De toute façon, ça restera entre nous. Tu aimes ou pas, alors?

- Ben, ça va, c'est plutôt agréable, mais je préfère quand même utiliser ma propre bite plutôt que de sentir celle d'un autre dans mon cul.

- Dis donc, puisque tu m'as l'air plutôt en forme. Et si on se faisait un petit 69, pour finir?

- Allez, au point où j'en suis. Pourquoi pas?

Benoît se retire donc de son copain et enlève son préservatif. Pendant ce temps-là, Adrien s'est allongé sur le lit, son ami vient se placer sur lui tête-bêche. Ils se mettent alors à se sucer mutuellement, chacun s'appliquant à procurer le maximum de plaisir à l'autre. C'est Adrien qui jouit le premier. Benoît ne cherche pas à éviter les jets de sperme et reçoit à nouveau tout dans sa bouche. Surpris par une telle vigueur, il essaye d'articuler quelques mots malgré le sperme qui a envahi sa bouche.

- Ben dis donc, mon salaud, tu as encore de l'énergie pour quelqu'un qui a joui il n'y a même pas un quart d'heure.

Adrien n'a pas le temps de répondre. A peine a t'il ouvert la bouche que Benoît jouit à son tour, sa bite se mettant à cracher son jus. Surpris par ces giclées qu'il ne parvient pas à éviter, il se retrouve avec la bouche pleine de sperme jusqu'au fond de la gorge. Il en avale même une partie malgré lui lorsqu'il veut se mettre à parler.

- Saligaud, tu m'as bien eu.

- On est à égalité, toi aussi, tu m'as giclé dans la bouche.

- Oui, mais moi, je viens d'en avaler une bonne partie malgré moi.

- Ce n'est que ça? Moi aussi, figure-toi.

Benoît se relève et se tourne vers son ami pour que celui-ci le voie bien. Il avale alors tout le sperme qui lui reste dans la bouche.

- Tu vois. Moi aussi, j'avale. Et j'avale tout.

Adrien lui répond, la bouche toujours pleine de sperme. Il lui en coule au bord des lèvres, mais à chaque mot, il ne peut éviter d'en avaler également un peu.

- Pas tout, il en reste.

Et tout en disant cela, il montre à Benoît le sperme qui lui reste sur le sexe et aux alentours. Benoît, décide alors de faire fort. Il se penche sur son copain, lèche tout le sperme restant et l'avale. Il regarde alors son ami, fier de ce qu'il vient de faire.

- Et toi, alors?

Adrien avale alors tout le sperme qui lui reste dans la bouche.

- Et voilà. Ça suffira comme ça.

- C'est déjà pas mal pour un début.

- En fait de début. J'espère bien que ça n'ira pas plus loin.

- Oui. C'est vrai. Quand j'y pense, je n'aurais jamais fait tout cela hier.

- Moi non plus. Mais dans le feu de l'action, on se retrouve à faire des choses que l'on ne penserait pas être capable de faire.

- Bon. N'en parlons plus. Je vais aller me laver. J'ai comme un goût dans la bouche.

- Moi aussi.

Les deux garçons retournent alors une fois de plus à la douche. Mais épuisés et un peu honteux de ce qu'ils viennent de faire, ils restent très sages et se lavent en silence, chacun dans une douche séparée. Une fois terminé, ils s'essuient. Benoît est le premier à parler à nouveau.

- En fait, j'ai toujours un goût dans la bouche.

- Pareil. On aurait du ramener des bières.

- Tant pis. Ça ne m'empêchera pas de dormir. Je suis crevé.

- Moi aussi, je suis naze.

Les deux amis rentrent dans leur chambrée, éteignent la lumière et se couchent nus. Ils ne tardent pas à s'endormir, épuisés qu'ils sont par leur incroyable journée.

6. Le pique nique

Dimanche matin, onze heures précises, il fait un temps magnifique: ensoleillé et déjà chaud en cette fin de matinée. Adrien et Benoît sont en tenue et attendent à l'extérieur du bâtiment. La P4 (véhicule tout-terrain semblable à une jeep) qui arrive depuis une des allées leur semble destinée. En effet, c'est bel et bien Sophie qui la conduit, accompagnée par son amie Catherine. Les deux garçons sont assez anxieux, que va-t-il bien pouvoir leur arriver aujourd'hui. Après tout, ils n'ont plus grand-chose à craindre: ce que le sergent ne leur a pas fait faire, ils l'ont fait entre eux durant la soirée. Ils montent à l'arrière du véhicule, une grande glacière et quelques cartons occupent déjà en partie l'espace libre. Ils prennent place, s'asseyant chacun sur une des deux banquettes qui se font face.

Sans plus attendre, le sergent démarre. La voiture quitte la caserne en direction de la campagne proche. Après une demi-heure de routes départementales, Sophie s'engage dans un chemin forestier. Elle semble bien connaître l'endroit car elle n'a pas eu besoin de carte jusqu'à présent et semble s'orienter sans souci au sein de la forêt. Ils finissent par arriver dans une petite clairière déserte et Sophie stoppe enfin la voiture. Tout le monde en sort et pendant qu'elle s'étire, le sergent commence déjà à donner des ordres aux deux garçons.

- Déchargez le matériel et installez-le au pied du grand arbre là bas.

Pendant qu'Adrien et Benoît se chargent de décharger la glacière et les cartons, Sophie et Catherine se sont assises au pied de l'arbre et retirent leurs rangers. Les deux garçons déploient ensuite un grand plaid sur l'herbe et y placent les couverts, parallèlement les deux femmes retirent leur veste et pantalon de treillis. Sophie ne porte pas de soutien-gorge, juste un string en dentelle blanc. Pour sa part, Catherine est à l'opposé, elle n'a qu'un soutien-gorge de dentelle transparente pour lui maintenir son opulente poitrine, mais elle ne porte pas de culotte sous ses vêtements. Gardant son soutif, elle se rassied sur le plaid en se plaçant en tailleur. Ses jambes écartées laissent aux deux garçons une libre vue sur son sexe même si celui-ci est partiellement caché par la toison touffue qu'elle a laissé sur son mont de vénus. Sophie, quand à elle, retire son string et vient s'installer à côté de sa copine dans la même position qu'elle. Son sexe totalement imberbe permet d'encore plus admirer les détails de son intimité et les deux garçons ne s'en privent pas.

Ayant fini d'installer le pique-nique, Adrien et Benoît sont impatients de se mettre à l'aise à leur tour. Ils retirent leurs rangers, puis leurs treillis. Les deux femmes les regardent faire, amusées. Mais ce n'est que quand ils ont retiré leurs slips que le sergent les rappelle à l'ordre.

- Qui vous a dit de vous déshabiller?

Benoît se permet de répondre.

- Ben… On pensait que puisque vous vous étiez mises l'aise.

- Non. Rhabillez-vous.

- Bien, sergent.

Les deux garçons reprennent leurs slips qu'ils avaient laissé au sol et sont sur le point de les remettre quand un nouvel ordre fuse.

- Pas la peine de remettre vos slips.

Adrien et Benoît remettrent donc leurs treillis à même la peau. Le contact direct du tissu sur leurs bites les excite d'autant plus que les deux femmes sont en train de se masturber tout en les regardant se rhabiller.

Sophie et Catherine se caressent mutuellement tout en mangeant la salade composée. Adrien et Benoît ne peuvent que les regarder faire tout en mangeant de leur côté. Une fois la salade terminée, Sophie passe derrière son amie et se charge de libérer sa poitrine de l'emprise de son soutien-gorge. Les seins de Catherine sont pesants, d'où l'importance d'un soutien-gorge, mais Sophie se charge de les soutenir à sa façon. Restée derrière, elle les soupèse, les caresse, les triture, les pelote. Visiblement, Sophie est frustrée par sa minuscule poitrine et celle de son amie lui fait fort envie. Pendant ce temps, Catherine se masturbe de ses deux mains et en gémit de plaisir. Elle retire sa main droite de son sexe, elle est couverte de mouille, elle la fait passer derrière elle, et fait pénétrer ses doigts dans le sexe grand ouvert de Sophie, ses jambes étant écartées. Les deux femmes gémissent en cœur et finissent par jouir ensemble.

Elles se replacent l'une à côté de l'autre le temps de manger le plat principal, mais ne peuvent néanmoins s'empêcher de s'échanger de nombreuses caresses furtives. Avant de passer au dessert, Sophie se penche vers Catherine et lui susurre quelques mots à l'oreille, cette dernière acquiesce, visiblement excitée à l'idée de ce qu'elles vont faire ensemble. Le sergent s'allonge sur le plaid, les bras rejetés au dessus de sa tête. Dans cette position, elle ne semble plus avoir du tout de seins, ce qui n'est pas le cas de Catherine, qui se place au dessus d'elle. La poitrine de cette dernière est volumineuse et pend vers le sol. Catherine commence alors à caresser le corps de son amie avec ses seins, lui prodiguant un voluptueux massage thaïlandais. Les deux garçons les regardent faire tout en bavant, ils sont terriblement excités par ce spectacle. Ils ouvrent leurs braguettes, leurs sexes sont déjà bien gonflés. A peine les ont-ils touchés qu'ils se mettent instantanément en érection, mais ils n'ont pas le temps de se masturber que le sergent les rappelle déjà à l'ordre.

- Qu'est-ce que vous faites, là?

C'est encore Benoît qui s'y colle, mais il ne sait plus trop quoi dire.

- Ben…

- Rangez vos bites. Il est trop tôt.

- Bon.

Dépités, Adrien et Benoît replacent leurs sexes dans leurs pantalons, ce qui n'est pas facilité par la raideur de leurs membres. Après quelques minutes de massage, Catherine se relève et reprend sa place. Sophie fait de même. Les deux garçons quant à eux, n'ont pu que regarder. Leurs pantalons sont toujours aussi déformés et ils ne peuvent rien y faire.

La tarte aux fruits est rapidement avalée par les deux femmes qui sont impatientes de reprendre leurs rapports lesbiens. Dès la dernière bouchée avalée, elles se mettent en position de 69, Catherine dessus et Sophie dessous, et commencent à se lécher mutuellement la chatte. Elles laissent aller leurs langues bien à l'intérieur de la fente, jouent avec le clitoris de l'autre et parcourent les lèvres sur toute leur longueur. Les deux garçons les regardent à nouveau faire. Ils préfèrent attendre d'être invités à participer plutôt que de se faire à nouveau rappeler à l'ordre.

Les deux femmes s'étant excitées continuellement depuis le début du repas, elles ne tardent pas à jouir ensemble dans un grand râle de plaisir. Le sergent se redresse alors et d'adresse aux deux garçons qui n'ont pas arrêté de les regarder, la langue pendante et la bite redressée sous la braguette.

- Alors, ça vous excite?

Ils lui répondent en cœur.

- Ah, oui. Beaucoup.

- Mettez-vous debout, alors.

Pendant qu'ils se lèvent, Sophie en fait autant et vient vers eux. Elle leur palpe le sexe à travers les pantalons de treillis. Leurs bites forment une bosse nettement visible, elle en prend une dans chaque main. Relâchant la bite d'Adrien, elle vient frotter son sexe encore humide de sa jouissance contre la bosse de sa braguette. Catherine trouve cela très excitant et elle vient en faire autant avec Benoît. Alternant la caresse de leurs sexes avec une masturbation plus directe à travers le tissu du pantalon, elles s'occupent chacune d'un garçon tandis que ceux-ci se laissent faire pour éviter tout contrordre.

Progressivement, elles indiquent aux garçons les caresses qu'elles attendent d'eux. Ils peuvent alors leur caresser les seins et les lécher. Puis descendant lentement, ils se mettent à s'occuper de leurs chattes. Celles-ci sont encore bien humides et ils se font un plaisir de les lécher et de boire leur nectar tout en leur pelotant les fesses avec leurs mains. Ils s'allongent ensuite par terre et les deux femmes viennent sur eux pour continuer à leur caresser le sexe tout en plaçant leur chatte juste devant la bouche des garçons. Pendant qu'Adrien s'applique à lécher le sexe de Sophie avec le plus d'application possible, Benoît fait de même avec Catherine. Les deux femmes ne cessent de gémir sous l'effet bienfaisant des cunnilingus que les garçons leur font. Pour leur part, elles continuent de les masturber à travers le tissu du treillis. Excités comme ils sont, Adrien et Benoît ne tardent pas à éjaculer dans leurs pantalons. Catherine et Sophie déboutonnent les braguettes, en sortent les sexes encore gluants de sperme et se mettent à les lécher et les sucer consciencieusement pour les nettoyer de toute trace de sperme. Ce faisant, elles finissent par succomber aux coups de langues des deux garçons et jouissent à leur tour à quelques secondes d'intervalle.

Temporairement contentées, les deux femmes semblent néanmoins insatiables. Chacune se charge de déshabiller le garçon qui l'a fait jouir. Une fois cela fait, elles se rhabillent, mais sans se donner la peine de reprendre leurs sous-vêtements. Adrien et Benoît restent allongés par terre tout en les regardant faire, visiblement le spectacle leur semble plaisant. Sophie reprend la parole.

- Bon, et si l'on allait faire une promenade pour digérer?

Son amie acquiesce.

- Bonne idée, ça nous fera le plus grand bien.

Alors que les deux femmes sont sur le point de quitter l'emplacement du pique-nique, Adrien et Benoît se penchent pour ramasser leurs treillis et les reprendre. Sophie les en dissuade.

- Vous n'allez pas reprendre vos tenues? Elles sont couvertes de sperme. Laissez-les plutôt sécher au soleil.

Benoît lui répond alors.

- On ne va quand même pas aller tout nus en forêt?

- Et pourquoi pas?

- Et si on croise du monde?

- Il n'y a personne par ici, c'est un terrain militaire.

- Et on n'a rien à mettre aux pieds, on ne va pas mettre les rangers sans rien?

- Si. De toute façon vous n'avez pas le choix. C'est ça ou plusieurs autres week-ends de retenue.

- Bon… D'accord.

Les deux garçons enfilent quand même leurs chaussettes, puis chaussent leurs rangers. Le petit groupe peut alors partir en balade dans la forêt.

Au bout d'une demi-heure, ils finissent par arriver dans une clairière ensoleillée. Catherine se déshabille immédiatement. Sans plus attendre, Sophie lui met un doigt dans le sexe, puis deux. Catherine s'allonge alors sur ses vêtements et écarte les cuisses en grand. Son amie peut alors lui mettre trois doigts, et enfin carrément quatre. Sophie masturbe alors sa copine de toute sa main, s'arrêtant au pouce. Adrien et Benoît sont stupéfaits, c'est la première fois qu'ils voient une femme aussi ouverte.

Sophie se tourne alors vers Adrien.

- Allonge-toi.

Celui-ci obéit et se met dans l'herbe. Catherine vient se placer sur lui, et se penche pour le caresser avec sa poitrine, lui prodiguant ainsi à lui aussi un massage thaïlandais. Pendant ce temps Sophie, qui est restée habillée, tend un préservatif à Benoît.

- Mets-le sur la bite de ton copain.

Etant donné que le sexe d'Adrien est encore tout mou, il comprend bien ce qu'elle attend de lui, heureusement depuis hier soir, ça ne le gène plus trop. Il se penche et prend la bite de son copain dans sa bouche. Il se met alors à la sucer et la lécher. Regardant autour de lui, Adrien voit Sophie, il en déduit donc que c'est son ami qui est en train de le sucer, et ça l'excite encore plus. La fellation prodiguée par son copain, plus les seins de Catherine qu'il peut peloter, tout cela il fait pas mal d'effet et il ne tarde pas à bander fermement. Benoît sort alors le préservatif de sa pochette et le déroule sur le sexe de son copain. Une fois cela fait, il reprend le membre de son ami en main et l'introduit dans la chatte de Catherine.

Alors qu'Adrien est en train de pénétrer Catherine. Sophie sort un autre préservatif et se penche vers Benoît pour le sucer. Au bout d'une minute, la bite de ce dernier est bien raide et le sergent peut dérouler la capote dessus. Benoît s'attend alors à pouvoir pénétrer Sophie, mais ce n'est pas ce qu'elle veut. Elle invite le garçon à se placer derrière Catherine. Il pense alors qu'il va devoir sodomiser celle-ci, mais ce n'est pas cela non plus. Sophie prend le sexe d'Adrien en main et le dirige vers la chatte de Catherine qu'Adrien occupe déjà. Il n'y a pas à forcer beaucoup pour parvenir à introduire simultanément deux bites dans ce sexe ouvert et accueillant. Les deux garçons doivent alors parvenir à coordonner leurs mouvements avec ceux de Catherine, ce qui n'est pas simple, mais Sophie est là pour remettre les sexes dans le bon trou s'ils en sortent. Tout en supervisant la double pénétration vaginale de sa copine, Sophie se masturbe à travers son treillis. Catherine jouit à plusieurs reprises, de plus en plus fort, jusqu'à ce qu'elle se torde de jouissance, criant son plaisir sans retenue. Epuisée, elle s'effondre sur Adrien, qui ne peut rien faire étant donné le poids important de celle-ci. Les bites, encore raides, des deux garçons sont ressorties du sexe de l'infirmière après sa dernière jouissance.

Benoît ne sait trop quoi faire, Sophie semble trop occupée à se caresser. Il retire la capote, couverte du jus de Catherine, qu'il a sur la bite et se met à se branler pour se terminer. Sophie le laisse faire et lui fait signe de faire de même avec Adrien, car ce dernier ne peut pas bouger. Benoît prend alors la bite de son copain dans sa main libre, en retire la capote et le branle aussi. Les deux garçons étaient déjà sérieusement excités d'avoir frotté leurs sexes l'un contre l'autre lors de la pénétration, ils ne tardent pas à jouir à leur tour, éjaculant l'un après l'autre de nombreux jets de sperme qui retombent sur les fesses et le dos de Catherine. Toujours à sa branlette, Sophie jouit à la vue de ce spectacle. Elle ouvre alors sa veste de treillis pour dévoiler sa poitrine toute plate et s'avance vers le groupe pour étaler le sperme sur le corps de son amie, puis ensuite elle se penche vers le sexe de Benoît et le suce pour le nettoyer. Catherine se relève et se charge de lécher le sexe d'Adrien pour avaler le sperme qui reste dessus. Une fois les bites des garçons bien propres, elles s'avancent l'une vers l'autre, les bouches pleines de sperme, et s'embrassent dans un gros baiser baveux et gluant. Sophie se tourne alors vers Benoît et l'embrasse à son tour, lui faisant ainsi partager le cocktail de sperme qu'elle a jusqu'au fond de la gorge. Les lèvres dégoulinantes de sperme, Catherine fait de même avec Adrien qui doit à son tour partager la dégustation du mélange de son sperme et de celui de son ami. Le jus leur coule de la bouche et se répand sur leurs poitrines, chacun caresse le corps de l'autre pour l'étaler autant que possible. Couverts de sperme tous les quatre, ils s'allongent dans l'herbe et restent ainsi quelques longues minutes, savourant leur jouissance et se remettant de leurs émotions.

Les deux femmes préfèrent se relever avant de s'être trop refroidies et ne plus être capables de bouger. Sophie reboutonne sa veste tandis que son amie se rhabille. Quand aux deux garçons, ils ne peuvent que remettre leurs chaussettes et leurs rangers, puisqu'ils n'ont que cela comme vêtements. Le petit groupe quitte alors la clairière et retourne en direction de la voiture. Ils y arrivent une trentaine de minutes plus tard. Adrien et Benoît peuvent enfin se rhabiller car ils commençaient à avoir froid. C'est alors le retour vers la ville, signe probable de cette fin de week-end.

7. Ce n'est pas fini

Arrivés dans la caserne, le sergent s'arrête pour les déposer devant leur bâtiment.

- Ça y est. Votre retenue est terminée

C'est Benoît qui lui répond.

- Bien sergent.

- J'espère que ça ne vous a pas déplu?

- Non, sergent, c'était bien.

- Vous seriez prêts à recommencer?

- Je ne sais pas. Je préfère quand même partir en perm.

- Et toi?

Adrien qui était visé par la question répond à Sophie.

- Je suis d'accord. C'était bien. Mais, bon. Je préfère aussi rentrer chez moi pour le week-end.

- Ce n'est pas grave. On peut s'organiser des petites soirées en semaine.

Adrien ne sait que répondre. Benoît s'en charge.

- C'est-à-dire qu'on doit être rentrés avant le couvre feu.

- Qui vous a dit que vous auriez à rentrer? Vous pourrez rester chez nous.

Catherine complète ce que vient de dire son amie.

- Oui, on se serra un peu. Notre appartement n'est pas très grand, mais ça ira.

Benoît répond à nouveau.

- Pourquoi pas… Il faut voir.

Et Adrien termine.

- Oui. Tout a fait.

Sophie clôt la conversation.

- D'accord. On en reparle demain.

Sur ce, elle redémarre, laissant les deux garçons seuls au milieu de la cour. Ils pensaient être libérés de ce qui venait de leur arriver mais ils ont maintenant l'impression que ce n'est que le début. Tout en marchant en direction de leur chambre, Adrien prend la parole.

- J'ai comme l'impression qu'on s'est fait avoir.

- Je dirais même qu'on s'est fait baiser.

- C'est le cas de le dire.

- Bon. Analysons la situation. Ce n'est pas si pire que ça, non?

- Je ne sais pas trop.

- En tout cas. Moi qui aime le sexe, je vais être servi.

- Ça, c'est sur. J'ai l'impression qu'elles ne pensent qu'à ça.

- Tant mieux. De toute façon, ça te fera du bien à toi aussi.

- Oui. Enfin, bon. J'ai quand même l'impression de ne pas pouvoir faire ce que je veux.

- C'est aussi parce que l'on était punis. Ce sera peut être différent pour des soirées chez elles.

- J'ai l'impression qu'elles vivent ensemble.

- Oui. Je parierais même qu'elles dorment ensemble.

- Peut-être. Je ne sais pas comment on pourra y dormir dans ce cas.

- Elles nous feront coucher ensemble sur le canapé.

- T'es con. Je préfèrerais coucher avec l'une des deux.

- Oui. Tu as une préférence?

- L'infirmière a l'air plus gentille, mais qu'est-ce qu'elle est enveloppée.

- Ça oui. Elle a quelques rondeurs, et même plus, mais tu vois, on s'y fait. J'aime bien finalement.

- En plus elle a de la poitrine, parce que le sergent, franchement.

Les tout petits seins de Sophie évoquent des souvenirs à Benoît, alors qu'ils sont en train d'arriver dans leur chambre.

- Ah ça, c'est sûr, elle est plate. Je n'ai jamais connu de fille avec si peu de poitrine. Il y a quelques années, c'était à la puberté, je tripotais mes cousines pendant les vacances pour voir les différences qu'il y a entre les garçons et les filles. Elles étaient aussi jeunes que moi et elles avaient déjà plus de poitrine que le sergent.

- Tu as pu faire ça?

- Ben oui. Pas toi?

Adrien s'assied sur son lit, face à son ami pour parler de son expérience personnelle.

- Non. Je n'avais pas de cousines avec moi pendant les vacances. Mais je prenais mon vélo pour aller jusqu'à la plage. J'allais mater les nanas qui bronzaient seins nus.

- Et tu te branlais?

- Ben oui. J'étais caché dans les buissons, avec une paire de jumelles que mes parents m'avaient offert. Une fois, je suis tombé sur une plage nudiste. C'était encore mieux, les gonzesses étaient complètement à poil, je ne te raconte pas comment j'étais excité. C'est alors qu'un couple est venu s'installer à deux pas du buisson où je m'étais planqué, j'ai cessé de bouger pour ne pas attirer l'attention. Ils se sont installés, ont commencé par se caresser, puis ils se sont mis à faire l'amour.

Les yeux de Benoît se mettent à briller. Adrien commence à penser que son copain est vraiment un obsédé.

- Ça devient intéressant ton histoire. Et alors, tu t'es branlé?

- Je n'osais pas, j'avais peur de me faire repérer, et pourtant je bandais comme pas possible. J'ai préféré attendre en regardant et me terminer après. Par contre, il s'est passé quelque chose auquel je ne m'attendais pas.

- Quoi donc?

- Un gars est arrivé. Le couple a continué ses ébats alors qu'ils avaient remarqué la présence de ce type. Il a commencé à se branler tout en les regardant. Le couple le regardait et ça avait l'air de leur plaire.

- Et il s'est joint à eux?

- Non. Il a fini par éjaculer. Mais ce qui est con, c'est qu'il a fait gicler son sperme sur le buisson sous lequel j'étais. Je n'osais toujours pas bouger. J'ai du attendre que le couple parte et ils n'étaient pas pressés, ils se caressaient encore. Pendant ce temps, il y avait du sperme qui me coulait goûte à goûte sur les épaules, je n'avais pas mis de t-shirt pour passer inaperçu.

- Ah ça… Ce n'est pas de chance.

- En effet. Quant ils sont partis, je suis sorti de ma cachette. Je voulais me nettoyer. J'ai tout de suite pensé à aller dans l'eau, mais je n'avais pas de maillot de bain sur moi, j'étais en short.

- Tu n'avais qu'à te baigner en slip.

- En fait, je n'en avais pas mis. C'est plus pratique pour se branler. Je portais juste un short ample fait dans un tissu style jogging.

- Je vois. Le genre de truc qui te caresse le sexe en permanence.

- En effet, d'ailleurs je me branlais directement dans le tissu. C'était très agréable. Le plus dur, c'était de ne pas mettre de sperme dessus pour ne pas laisser de traces. Enfin, je m'égare, là.

- Et qu'est-ce que tu as fait alors?

- Je n'avais pas trop le choix. Je suis allé sur la plage, à un endroit assez désert, j'ai retiré mon short et je me suis baigné.

- Ça me fait penser que j'irais bien prendre une douche. J'ai du sperme un peu partout sur moi, je n'y pensais plus.

- Moi aussi.

Les deux garçons se déshabillent donc, prennent leur serviette de bain et leur trousse de toilette et se dirigent nus vers les douches. Adrien s'inquiète encore un peu.

- On aurait peut être du y aller habillés?

- Pour quoi faire? Il n'y a encore personne.

- Et si on croise le sergent?

- Elle est rentrée chez elle. On ne va verra pas, ne t'inquiète pas. Raconte-moi plutôt la fin de ton histoire.

- Ben, une fois que je suis sorti de l'eau, j'ai réalisé que je n'avais pas de serviette pour me sécher. Je suis resté debout au soleil à attendre que l'eau s'évapore, je n'avais pas trop le choix. Je ne m'attendais pas à être pris à mon propre piège.

- Comment ça?

- A partir de ce moment là, ce n'est plus moi qui regardais les autres, mais l'inverse. Un groupe de filles est passé, elles étaient trois, elles ne se sont pas gênées pour me mater. J'ai même entendu des rires étouffés.

- Tu avais du leur plaire.

- Peut-être. J'étais encore excité et mon sexe était gonflé. Pas en érection, mais quand même plus gros qu'au repos.

Arrivés sous la douche, ils commencent à se nettoyer, chacun dans une cabine séparée. Benoît se met à se branler en repensant à ce qu'Adrien vient de raconter. Ce dernier, tout aussi excité, se met à en faire autant sans savoir qu'ils font la même chose. Benoît ne peut s'empêcher d'en parler à son copain.

- Tu m'as excité avec ton histoire. A tel point que je suis en train de me branler.

- Toi aussi?

- On se branle tous les deux alors?

Tout en disant cela, Benoît sort de sa cabine et pour regarder son copain se masturber.

- Tu veux que je t'aide?

- Pourquoi pas. Viens donc avec moi.

Benoît est sur le point de passer sous la douche avec son copain, s'imaginant déjà en train de le branler, de le sucer et de se faire aussi branler et sucer par lui. Mais c'est à ce moment, qu'un autre camarade de régiment entre dans la pièce. Benoît ne doit pas donner l'impression qu'il allait passer dans la cabine d'Adrien. Il est déjà hors de sa douche, et qui plus est, avec le sexe bandé. Il profite alors d'un bref instant, l'intrus étant de dos, en train de poser ses affaires sur le banc, pour aller lui aussi jusqu'au banc et prendre sa serviette. Il se sèche et se passe la serviette autour de la taille. Pendant ce temps, Adrien sort à son tour et fait de même, tandis que leur camarade, qui a fini de se mettre nu, va prendre sa douche.

Après avoir repris leurs trousses de toilette, ils retournent dépités et déçus vers leur chambre. Benoît parle à voix basse.

- Fait chier. J'étais bien excité.

- Pareil. Je ne sais pas ce que j'ai, mais j'ai super envie de te sucer.

- Moi aussi. Mais on peut continuer dans la chambre.

- Il s'il entre? Je ne savais pas qu'il rentrait si tôt.

- En fait, maintenant que j'y pense, c'est vrai qu'il est toujours là avant nous le dimanche soir.

- Exact.

- On n'a qu'à le faire pendant qu'il est sous la douche.

- Ne perdons pas de temps, alors.

Excités d'avance, ils referment en vitesse la porte de leur chambre et courent vers leurs lits. Adrien s'allonge sur le sien et Benoît vient se placer sur lui en position de 69. Sans plus attendre, ils se mettent à se sucer mutuellement avec application. Chacun prend visiblement beaucoup de plaisir à faire une pipe à son copain. L'un comme l'autre appréciant autant ce qu'il reçoit que ce qu'il donne. Ils arrivent rapidement au bord de l'éjaculation, se demandant s'ils vont avaler ou recracher. C'est à ce moment qu'il vaudrait mieux qu'ils ne soient pas dérangés.

La porte de la chambre s'ouvre. Ils sont faits. Tout le régiment va savoir qu'ils ne sont que deux pédés. Et pourtant ce n'est pas vrai, enfin pas tout à fait… Mais comment le prouver? Ils sont fichus!

En fait cela aurait pu être bien pire. Car c'est Catherine l'infirmière qui vient d'entrer dans la chambre. Les deux garçons préfèrent cela. D'autant plus, qu'elle se charge de les rassurer.

- Continuez. Faites comme si je n'étais pas là. Je surveille la porte.

Adrien et Benoît reprennent alors leur fellation mutuelle, tout en étant observés par Catherine qui reste à la porte pour la maintenir fermée. L'excitation revient vite et les deux garçons ne tardent pas à jouir, chacun éjaculant son sperme dans la bouche de l'autre. Catherine s'avance vers eux.

- Gardez-moi en un peu.

Ils se relèvent et s'asseyent côte à côte sur le lit. L'infirmière vient auprès d'eux et les embrasse à pleine bouche l'un après l'autre, goûtant à leur sperme avec plaisir.

Satisfaite, elle avale tout ce qu'elle a reçu dans la bouche, tandis qu'Adrien et Benoît font pareil sans même y penser.

- Alors les garçons? Je ne savais pas que vous étiez homos?

Adrien est embarrassé, Benoît s'en rend bien compte et il préfère répondre.

- Mais on ne l'est pas. Enfin, on ne l'était pas jusqu'à hier.

- Je vois. Nous vous avons fait découvrir de nouveaux horizons.

- Oui. C'est ça. Une nouvelle expérience.

Adrien répond à son ami.

- Ah d'accord. Vendredi, quand tu me parlais de nouvelle expérience, je ne savais pas que c'était de ça que tu me parlais.

- Mais non. Je ne pensais pas à ça.

Catherine reprend la conversation.

- En tout cas. Vous y alliez à fond, là. C'est nous qui vous avons fait cet effet?

Adrien répond le premier.

- Oui.

Benoît complète ce que vient de dire son ami. Ce n'est qu'après qu'il réalise qu'il vient de trop parler.

- Enfin, il n'y a pas que ça. On évoquait aussi des souvenirs de jeunesse.

Cela intéresse immédiatement Catherine.

- Ah oui? Il faudra venir nous les raconter. Nous aussi, Sophie et moi, avons plein d'histoires qui nous sont arrivées. Je venais justement pour vous indiquer où nous habitons, Sophie a oublié de vous le dire.

Benoît se tourne vers son copain.

- Justement. On n'avait pas encore réfléchi à cela. Ça t'intéresse?

- Tu es toujours à la recherche de nouvelles expériences?

- Pourquoi pas? Tant que c'est pour le plaisir.

- On peut essayer.

Catherine est ravie.

- Je suis heureuse que vous acceptiez. Vous savez, vivre entre filles, c'est sympa, mais ça ne vaut pas une bonne grosse bite.

Benoît lui répond, déjà excité.

- Et encore moins deux grosses bites à la fois.

- Oui, c'est encore meilleur. Bon, vous m'avez quand même un peu épuisés. On se revoit demain soir? A 19 heures? Je vous laisse l'adresse.

Tandis qu'elle laisse à Benoît un papier sur lequel est écrite leur adresse. Elles les embrasse tous les deux, puis quitte la pièce.

Benoît se lève et va s'asseoir sur son lit. Face à son copain.

- Ce qui est sûr maintenant, c'est qu'elles savent qu'elles n'ont pas besoin de nous forcer pour qu'on se suce et qu'on avale.

- Tant pis. C'était trop bon.

- Oui.

- Par contre, elles ne savent pas qu'on s'encule aussi.

- Pour l'instant, il n'y a que moi qui t'aie enculé.

- Pourquoi tu dis ça? Tu veux que je te mette ma bite dans ton cul?

- J'essaierais bien.

- Pas ce soir alors. Je suis épuisé.

- Moi aussi. De toute façon, il faut se réserver pour les soirées à venir.

- Si tu veux, je t'enculerai devant les filles. Ça devrait leur plaire.

- Excellente idée. En plus, si ça me fait bander, l'une d'elles pourra me sucer en même temps.

- On sombre dans la déchéance, quand même.

- Mais non, puisque c'est bon.

Tout en achevant cette conversation, ils viennent de finir de se rhabiller. Leurs camarades ne vont pas tarder à arriver. L'intimité qui s'était créée entre eux va devoir se faire discrète. Ils ne souhaitent maintenant plus qu'une seule chose, être demain soir pour remettre ça. Benoît pense soudain à un détail pratique.

- Dis-donc, on devrait aller dans un laboratoire d'analyses médicales pour se faire un test MST.

- Tu crois?

- J'en ai marre des capotes, pas toi?

- Si, mais il faudra qu'elles fassent le test aussi.

- Je pense qu'elles seront d'accord.

- Certainement. C'est quand même meilleur sans le latex.

Adrien soupire quelques instants, puis reprend.

- Qu'est ce que c'est bon, le sexe.

- Et si on essaye un peu de tout, c'est encore meilleur.

- Arrête, tu m'excites.

- C'est vrai ça?

Tout en disant cela, Benoît vient caresser le sexe de son copain à travers le tissu du pantalon. Sa bite est en effet à nouveau gonflée sous l'effet de l'excitation. Adrien ne tarde pas à rendre à son ami les mêmes caresses. Un bruit dans le couloir les rappelle à l'ordre juste à temps. La porte s'ouvre, un de leurs camarades entre dans la chambre. Adrien et Benoît sont obligés de s'asseoir sur leurs lits pour cacher les érections qui commençaient déjà à déformer leurs pantalons. Le week-end est fini, tant pis. Mais dès demain, cela recommencera de plus belle.

- FIN -

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17 mai 2006

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16 mai 2006

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16 mai 2006

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C'est un grand jour aujourd'hui puisque j'inaugure en partenariat avec un cyber-pote ce blog dédié intégralement au plaisir secret des hommes... Soyez les bienvenus et amusez vous bien !

dep_181

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